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"Cool" est vite dit, ce sera un jour un peu moins hard que les précédents.
Programme du jour 6 : LA FOULY / CHAMPEX - LA BOVINE - TRIENT - LE TOUR
D + : 750 m.
D - : 900 m.
Transfert en taxi jusque Champex, où notre guide achète ce qu'il faut pour le pique-nique. Nous en profitons pour admirer ce petit lac de Champex.
Nous partons à la découverte des alpages suisses sur un sentier au départ quasiment plat puis qui monte brusquement dans les cailloux et les sapins.
A partir de la Bovine, la vue sur le Valais (Martigny) est incomparable.
Pause méditation en attendant les derniers.
Apéro dans un chalet d'alpage au milieu des vaches, le repas sera pris un peu plus loin, à l'écart des touristes et des vaches (trop bruyants ! :-D).
Mini sieste digestive
Longue descente dans les épicéas et au milieu des racines
Fin de la randonnée à Trient (1280 m).
Transfert au Tour, dans un refuge du CAF, pour notre dernière nuit. La fin d'après-midi est consacrée à une petite lessive, short et tee-shirt auront le temps de sécher pendant la nuit.
Dîner et soirée très sympas, un peu arrosés, sanitaires très corrects.
Bilan du jour, pas si mal pour un jour dit "cool" :
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Nous amorçons la descente côté Suisse sur Ferret (1740 m), puis direction La Fouly.
Des gentianes pourpres, plus petites en taille que les jaunes.
Dernier regard sur la vallée côté Italien
On longe le torrent jusque tout en bas. Les derniers kilomètres sont longs, très longs, je n'ai même plus la force de sortir l'appareil photo du sac.
Enfin c'est l'arrivée tardive (18h15) à la Fouly, on n'en peut plus, les jambes sont raides comme des piquets.
Heureusement une bonne douche et une bonne raclette vont nous revigorer !
L'endroit où nous nous posons est une ancienne école reconvertie en refuge.
L' accueil y est très sympathique et enfin les douches sont plus nombreuses et propres, et la chambre possède seulement 4 lits, un vrai luxe ! ça fait du bien après les nuits précédentes faites de promiscuité.
Après ma mauvaise nuit de la veille, je vais dormir ici comme un loir.
Vue magnifique ici aussi.
Bilan du jour :
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Lever du jour au col Chécrouit.
J'ai passé une mauvaise nuit, dont une grande partie à la belle étoile dans le transat déplié sur la photo. En contrepartie, j'ai eu la chance voir un ciel étoilé comme jamais je n'en avais vu encore, et deux étoiles filantes (j'ai fait le même voeu à chaque fois, pour lui donner deux fois plus de chances de se réaliser *).
Jour 5 programme : COL CHÉCROUIT - COURMAYEUR - ARNUVA - GRAND COL FERRET - LA FOULY
D + : 800 m.
D - : 1550 m.
Descente dans le village Italien de Courmayeur, pour que notre guide aille faire un test COVID antigénique.
Courmayeur visible en contrebas dans la Vallée.
De là, nous prenons le bus direction Arnuva, au cœur du val Ferret, sous les Grandes-Jorasses.
Démarrage de la marche à 11h, sous une chaleur déjà éprouvante. Montée au grand col Ferret (2537 m), en Suisse. Elle est rendue difficile par la chaleur et les courbatures.
Nous sommes en Suisse.
Arrivés au sommet, petite pause bienvenue face à la vallée.
* A l'heure où j'écris aujourd'hui, je sais qu'il ne se réalisera pas. Une vraie arnaque, cette histoire de voeux face aux étoiles filantes !
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En ce qui nous concerne, nous allons au refuge "maison vieille".
La longue marche entamée depuis le matin est encore loin d'être terminée.
Comme je vous le disais, les paysages sont époustouflants.
Ci-dessus, ma photo préférée de toutes celles prises pendant le trek.
Arrivée au refuge de "la maison vieille" en Italie, au col Chécrouit, au dessus de Courmayeur.
Refuge sympa, vue magnifique, repas copieux et délicieux, mais des sanitaires à la limite de l'insalubrité....
Bilan du jour (on le sent bien dans les jambes :-))
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Nous remontons ensuite pour la soirée sur l’un des plus beaux balcons du tour : le col Chécrouit.
Le glacier du col de Miage, que nous verrons ensuite "du haut"
Le petit lac, tout en bas.
Le glacier en face, dont on se rapproche de l'altitude
Notre super groupe.
Encore un peu de montée, et les paysages vont devenir tout simplement époustouflants (les plus beaux du parcours à mon goût).
Le glacier, dont la glace est recouverte de pierres.
On ne peut tous s'empêcher de regarder ces vues à couper le souffle, de s'arrêter pour prendre des photos.
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Après le col, descente dans le val Veny (côté Italien donc) au pied du glacier du Miage et de son petit lac où pousse une flore alpine dite unique. En tout cas c'est splendide !
Arrêt pique-nique au bord du torrent : endroit magnifique mais où nous avons été dévorés par les fourmis rouges.
Le lac, avant la grosse remontée.
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Jour 4 LES CHAPIEUX - COL DE LA SEIGNE - VAL VENY - COL CHÉCROUIT
D + : 1100 m.
D - : 950 m.
Après un court transfert des Chapieux à la Ville des Glaciers (15 min en taxi), dès 8h30 on entame une montée ardue dans les alpages du col de la Seigne (2516 m) où se situe la frontière avec l' Italie.
De ce point de vue, les versants du massif deviennent plus qu’imposants, la vue est splendide !
Des chardons énormes et magnifiques sont visibles dans une montée qui est par ailleurs de plus en plus aride.
Je ne connaissais pas ces fleurs, dont le duvet se balance au vent. Je ne les connais d'ailleurs toujours pas (quelqu'un peut-il m'éclairer?).
Arrivée au col de la Seigne, où le vent est glacial. Persistent d'ailleurs de nombreux névés.
C'est la frontière avec l'Italie du côté duquel nous redescendons assez vite pour échapper au froid.
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Arrivée au sommet du col du Bonhomme
Le vent souffle et il fait frais, mais la vue est splendide.
On redescend assez vite après le repas (pas de photos du lieu de pique-nique au col de la Croix du Bonhomme, 2433m)
Pause dans les champs fleuris et séance photo-pose pour les filles.
Tandis que les gars préfèrent se rafraichir.
Arrivée en fin d'après-midi dans le refuge du hameau des Chapieux. Pas de photos, la fatigue commence à se faire sentir dans les jambes.
Petit bilan du jour sur mon téléphone :
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Jour 3 CHALET DE NANT-BORRANT - COL DE LA CROIX-DU-BONHOMME - LES CHAPIEUX
D + : 1050 m.
D - : 950 m.
La montée progressive au célèbre col du Bonhomme (2329 m) annonce un superbe passage au sud du massif. Nous sommes à cheval entre le massif du Mont-Blanc et celui du Beaufortain. L’ascension se prolonge jusqu’au col de la Croix-du-Bonhomme (2433 m). Magnifique panorama sur le mont Pourri (3779 m). Descente dans les alpages pour une nuit au hameau typique des Chapieux.
Le lever du soleil (merci Sylvie pour les photos ;-)). Une journée radieuse point de vue météo nous attend encore.
Encore une fois nous partons au petit matin, car la journée va être longue.
Notre guide
Plaque de neige qui ne fondra plus cette année
ça grimpe dur mais on garde le sourire, toujours.
Le sommet de la Croix du Bonhomme est en vue.
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Fin du jour 2
(Rappel jour 2 : D + : 950 m. D - : 1000 m)
Nous redescendons maintenant sur la cascade de Combe Noire.
Campanules :
Descente facile au départ après le pique-nique :
Puis descente difficile le long d'un torrent plus ou moins à sec jusqu'à la cascade de Combe noire. Cette descente nous tue les jambes et les genoux !
Après un détour par le pont Romain, une dernière petite montée nous mène au gîte de Nant-Borrant (1460 m) où nous passons la nuit.
Joli refuge, mais salle de repas (du soir et du matin) glaciale, et accueil non moins glacial. Dommage.
Les ânes qui portent les bagages d'une famille :
Saturation des chargeurs !
A titre d'information, voilà ce que m'indiquait mon téléphone pour le jour 2 (données approximatives)
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